Quand on s’intéresse à la communication Plantation, on se dit que tout est bien fait… La marque jouit d’une aura particulière, packaging léché, histoire travaillée, on a envie à chaque fois d’ouvrir ces nouvelles bouteilles qui se pressent à un rythme soutenu mais pas effréné.
Aujourd’hui donc, il est question d’un “petit” OVNI que nous offre Alexandre Gabriel. Jeune et puissant, Xaymaca l’est. Mélange de distillats issus de John Dore Longpondien et de Vendome Clarendonesque, ce rhum reste au chaud -vieillissement tropical- pendant une durée comprise entre un et trois ans. Il vient ensuite sur le vieux continent avec la fameuse finition Ferrand, laquelle dure 1 an environ.
Un petit bonificateur – terme commun, dans le cognac par exemple, lors des assemblages – est utilisé. Il s’agit d’un vieux jamaïcain de 17 ans, ce qui conserve à notre rhum sa mention Special Dry comme pour les nouveaux “Extrêmes » . Zéro sucre ajouté pour le Xaymaca, chez Ferrand, on prend le problème des populations occidentales en surpoids très au sérieux !
Parlons peu, parlons “mark” (NDLR: On parle des “marks” lors de la brève précédente sur les Extrêmes Plantation) La transparence on aime ça, parfois ça déroute, mais bon, les âmes sensibles n’ont qu’à passer au paragraphe suivant ! Revenons donc sur le contenu présent dans le contenant ! Les clarendon sont EMB et MLC, au profil animal nous dit-on. Les Long Pond sont VRW (4 roues motrices), STC^E (non ce n’était pas une faute de frappe) et ITP (là je n’ai pas de blague en stock), marqués par des notes de fruits tropicaux très mûrs !
Bref, si avec ça vous n’arrivez pas à faire un mot compte triple au scrabble … Un mot compte triple à petit prix, puisqu’il est de 35 € en prix de vente conseillé. Une référence qui risque d’envahir les bars à cocktails dès l’automne !
Plantation Xaymaca
43% – 70cl
PVC: 35€
Distribution : cavistes via LMDW