« Donne du rhum à ton homme et tu verras comme il t’aimera », chantait le grand George Moustaki il y a un demi- siècle (déjà !). Et bien que cette chanson continue et nous inspire pour ces fêtes de fin d’année.
Bien sûr, pas de ritournelle « genrée », les femmes comme les hommes apprécient le rhum, c’est d’ailleurs l’une de ses plus grandes forces face aux autres grandes catégories de spiritueux.
Le rhum est en quelque sorte un cadeau universel, pour les adultes bien évidemment, du rhum blanc bio monovariétal parcellaire brut de colonne pour les amatrices et amateurs les plus pointus au rhum très vieux de plus de 15 ans d’âge à tous les prix (et, à ce sujet, Grégory Vernant nous livre une grande interview sans tabou), en passant par des cuvées plus gourmandes voire des liqueurs ou rhums arrangés pour celles et ceux qui n’osent pas encore attaquer l’eau-de-vie de canne à sucre par la face nord.
Et son immense diversité ne s’arrête pas aux profils des liquides mais s’étend à ses origines géographiques sans égales, de tous les continents et les océans. Au-delà du berceau caribéen, on trouve des producteurs aux USA, au Canada, en Écosse, en Irlande ou encore au Japon, à Taïwan, en Inde, en Australie ou en Afrique du Sud, comme pour les grands whiskies internationaux et certains nouveaux créent la surprise comme le Salvador à l’honneur dans ce numéro.
Certains producteurs se sont même lancés dans la culture de la canne à rhum dans le sud de la métropole et en Corse (voir notre dossier sur les rhums hexagonaux) … Et pour celles et ceux qui hésitent encore, retrouvez notre sélection toujours élargie de calendriers de l’Avent, une bonne excuse pour découvrir 24 nouvelles facettes du rhum en un rien de temps.
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Joyeuses fêtes, bonne dégustation et bonne lecture !